frança

comprendre l'anglais. comprendre le français. comprendre le chinois. comprendre qu'elle ne t'aime pas

professeur de biologie : où est la grenouille que nous voulions disséquer ? ce petit français :

Un nouveau rouleau français - crunch, le crâne d'un ennemi - crunch, une boule de neige sous vos pieds - crunch, mais votre articulation du genou - ne crunch pas. Puis-je avoir un autre traumatologue ?

- nous avons pris l'avion pour les Maldives... - bien sûr que nous avons pris l'avion ! -Ne m'interrompez pas, alors un Allemand, un Français et un Russe se sont envolés pour les Maldives...

après la mort de cet homme, il restait : 2 vestes françaises, une paire de bottes, une blague à tabac, une pipe, 5 roubles d'argent et un grand pouvoir.

- pourquoi lorsque je saisis mon numéro, on m'écrit qu'une autre page est déjà liée à ce numéro ? -Bonjour. Veuillez écrire les chiffres du numéro au format international. -pourquoi en as-tu besoin ?) -Je t'appellerai, faisons connaissance, d'abord nous discuterons à cœur ouvert les longues soirées d'hiver, puis nous nous rencontrerons, nous commencerons à y aller au cinéma, aux musées, à l'opéra ensemble, je te marierai à un homme digne, tu feras de moi la marraine de ton premier-né, on t'emmènera dans ta Ford Mustang décapotable bleue de vieillesse >> 1966, nous ferons le tour de l'Europe avec une progéniture de petits-enfants, à la fin du voyage, dans notre neuvième décennie, nous mourrons tranquillement à Paris, dans une chambre douillette de la clinique Saint-Jean-de-Dieu, dans le 7ème arrondissement, et nous Ils seront enterrés ensemble quelque part dans le coin le plus éloigné et le plus ombragé du beau Père-Lachaise. ou je vais simplement vérifier à quelle page le numéro est lié et aider à le lier à la vôtre, si possible.

pitbull : ppppppp... doberman : wouf-woof-woof ! Bouledogue français : je me déteste et je veux mourir.

Une connaissance est allée en France à Disneyland. Sur des montagnes russes, il a vu qu'avant de partir, les enfants criaient « papista - fali ». J'ai demandé au contrôleur : qu'est-ce que crient ces enfants ? - oui, un Russe travaillait ici - chaque fois qu'il actionnait le levier, il criait : « pa-piz-dova-a-li ».

C'est ce pianiste qui a donné un concert en 1994 dans un village français inconnu, auquel absolument personne n'est venu, car personne ne le connaissait.

qui vole des cônes à Eugène Petrosyan ? entretien franc avec l'artiste